Gabriel Faure in 1887 - when the piece below was written |
Belle Époque seems about right - remembering a time that one considers golden. We all have them...or some of you lucky ones do. For the rest of us we have to live vicariously off some one else's beautiful time.
Here are the lyrics to the piece below, Faure's Pavane....
C'est Myrtille, c'est Lydé! Les reines de nos coeurs!
Comme ils sont provocants! Comme ils sont fiers toujours!
Comme on ose régner sur nos sorts et nos jours!
Faites attention! Observez la mesure!
Ô la mortelle injure! La cadence est moins lente!
Et la chute plus sûre! Nous rabattrons bien leur caquets!
Nous serons bientôt leurs laquais!
Qu'ils sont laids! Chers minois!
Qu'ils sont fols! (Airs coquets!)
Et c'est toujours de même, et c'est ainsi toujours!
On s'adore! On se hait! On maudit ses amours!
Adieu Myrtille, Eglé, Chloé, démons moqueurs!
Adieu donc et bons jours aux tyrans de nos coeurs!
Et bons jours!
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